Messages : 19 Date d'inscription : 22/10/2009 Age : 29
Sujet: La marseillaise Jeu Jan 14, 2010 3:13 pm
Lettre fraçaise de la marseillaisepour edith piaf
Allons enfants de la Patrie, Le jour de gloire est arrivé! Contre nous de la tyrannie, L'étendard sanglant est levé,(bis) Entendez-vous dans les campagnes, Mugir ces féroces soldats? Ils viennent jusque dans vos bras, Égorger nos fils, nos compagnes!
Refrain:
Aux armes, citoyens, Formez vos bataillons, Marchons, marchons! Qu'un sang impur Abreuve nos sillons! Aux armes, citoyens, Formons nos bataillons, Marchons, marchons! Qu'un sang impur Abreuve nos sillons!
Que veut cette horde d'esclaves, De traîtres, de rois conjurés ? Pour qui ces ignobles entraves, Ces fers dès longtemps préparés ? (bis) Français ! pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage !
Refrain
Quoi! ces cohortes étrangères ! Feraient la loi dans nos foyers ! Quoi! ces phalanges mercenaires Terrasseraient nos fiers guerriers ! (bis) Grand Dieu! par des mains enchaînées Nos fronts sous le joug se ploieraient ! De vils despotes deviendraient Les maîtres des destinées !
Refrain
Tremblez, tyrans et vous perfides L'opprobre de tous les partis Tremblez ! vos projets parricides Vont enfin recevoir leurs prix ! (bis) Tout est soldat pour vous combattre S'ils tombent, nos jeunes héros La France en produit de nouveaux, Contre vous tout prêts à se battre
Refrain
Français, en guerriers magnanimes, Portez ou retenez vos coups ! Épargnez ces tristes victimes, A regret s'armant contre nous. (bis) Mais le despote sanguinaire, Mais les complices de Bouillé Tous ces tigres qui, sans pitié, Déchirent le sein de leur mère !...
Refrain
Amour sacré de la Patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté, Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! (bis) Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire !
Refrain
("Couplet des enfants") Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus, Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus (bis) Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre !